Tuesday, August 05, 2003

Trois jours

Je suis souvent occupé par mon travail que mes fins de semaine se résument à une soirée bien arrosée ou une baise intense, avec l'homme de service. D'ailleurs, insatisfait de son rôle d'amant de fin de semaine depuis un temps, il m'a kidnappé pour tout celle-ci. Habituellement, nos fréquentations se résument une ou deux fois la fin de semaine et une fois la semaine. Tout dépend du désir et du temps. Donc, il a décidé de prendre 3 jours consécutifs dédiés à mon petit corps de femme. Il m'a invité chez lui et ensuite, il m'a attache les mains dans son lit pendant une heure. Tout en prenant soin de me déshabiller avant. Donc, j'ai attendu la suite pendant une heure, car il est parti durant toute celle-ci. Il me laissa nue déjà bien excité dans l'état que j'étais. Je me suis laissé aller à mon rôle de femme kidnappée qu'on allait faire la fête bientôt. J'imaginais le scénario : il arrive et me baise sauvagement sans préliminaire rien, à sec ! J'étais quand même mouillé à l'idée, alors l’à sec n'existera pas. L'heure se passe et il arrive flambant nu. Le sexe entre ses mains qu'il semble avoir bien astiqué avant de me rejoindre. L'envie de l'avoir dans ma bouche pour vérifier la fermeté m'envahit. Mais il a d'autres projets. Je dois me résigner à réaliser ses désirs et non les miens dans la position que j'étais. Il s'approche et il commence, ses caresses jusqu'à mon sexe pour vérifier l'état des lieux. Il y glisse sa main et découvre la cyprine produite depuis une heure à l'idée des perversions qu'il peut me faire subir. Je suis une mauvaise petite fille à cause que j'ai eu ces pensées qu'il me dit. Comme j'ai des menottes en cuir, il n'a qu'à me détacher du lit par le métal qui unit les deux menottes. Ensuite, il me rattache et me demande de prendre la position doggy style. J'ai été vilaine, alors qu'est-ce que les vilaines petites filles se font faire ? Une sodomie, car moi je ne mérite pas le plaisir de la pénétration vaginale. Pour moi, ce n'est pas si grave, car la jouissance que j'ai est plus forte si je me fis aux étoiles que je vois ! J'embarque tout de même dans le rôle de la petite fille qui ne veut pas qu'on la pénètre là, je supplie et j'implore. Peine perdue ou joie retrouvée, il m'attaque et hop. Je suis la brochette qui se fait empaler.

Toute la fin de semaine fut à son service par pure vengeance de n’avoir que servie mes intérêts depuis le début de notre rencontre... Je n'ai pas détesté, car il avait purement le droit de se venger. Par la suite, il m'a fait subir au cours des deux autres jours, la plume, des fellations, des cunnilingus d'une heure (la langue fatiguée j'imagine, mais quels plaisirs à recevoir !) et divers éléments de forme phallique qu'il pouvait trouver à m'insérer. Une fin de semaine à satisfaire ses perversions d'homme...